Léon CROSSET – 1918 – dernière lettre commémorative d’une marraine de guerre – Maria BECKERS

La correspondance entre les soldats belges et leurs familles qui sont sous l’autorité allemande est difficile voire impossible.
C’est pour cela que les soldats auront recours aux « marrainne de guerre » .
Léon CROSSET aura comme « marraine de guerre » Maria BECKERS de Gaillon
Gaillon est une ville française située le long de la Seine dans le département de l’Eure (27)

L’expression marraine de guerre désigne les femmes ou les jeunes filles qui entretiennent des correspondances avec des soldats au front durant la Première Guerre mondiale afin de les soutenir moralement, psychologiquement voire affectivement. Il s’agissait souvent de soldats livrés à eux-mêmes, ayant par exemple perdu leur famille. La marraine de guerre faisait parvenir des lettres à son soldat mais pouvait également envoyer des colis, des cadeaux, des photographies.
(extrait Wikipédia)

 

 

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